La Mort aux trousses – d’Alfred Hitchcock.
Thriller. 1959. Durée 2h16
Avec Cary Grant, James Mason, Eva Marie Saint et Martin Landau
Roger Thornhill (Cary Grant) est pris pour un espion qu’il n’est pas par une organisation secrète. S’ensuivent des aventures rocambolesques à un rythme effréné. Des poursuites inoubliables, un suspens insoutenable et une des scènes les plus célèbres de l’histoire du cinéma…
Jurassic Park - De Steven Spielberg. Science-fiction. 1993, 2 h 8.
Avec Sam Neil et Laura Dern. Un milliardaire invite un petit groupe à visiter son zoo d'un nouveau genre, une île peuplée de vrais dinosaures. Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?
Rien ne vaut l'original, qui n'a pas pris une ride. Et cette musique de John Williams ! « Tu ne regarderas plus jamais ton verre d'eau de la même façon… »
Fenêtre sur cour - D'Alfred Hitchcock. Suspense. 1954, 1 h 48.
Avec James Stewart, Grace Kelly et Thelma Ritter.
Le photographe L. B. Jeffries est contraint de rester chez lui, immobilisé avec une jambe dans le plâtre. Sa seule occupation : observer à longueur de journée ses voisins avec des jumelles. Jusqu'à trouver louche l'un d'eux, dont la femme a mystérieusement disparu…
Le « maître du suspense » réussit l'exploit de tenir en haleine les spectateurs, sans faire montre d'aucune violence. Jusqu'au cultissime dénouement : « Jeff » se terre dans son fauteuil roulant, seul, dans le noir. Sous la porte palière, il entrevoit la lumière de la minuterie qui s'allume et entend les pas du meurtrier présumé se rapprocher…
Les Blues Brothers - De John Landis. Comédie musicale. 1980, 2 h 13.
Avec John Belushi, Dan Aykroyd, Aretha Franklin, James Brown et Steve Cropper.
Les frères Jake et Elwood Blues veulent reformer leur groupe de rhythm'n'blues et donner des concerts afin de récolter les 5 000 dollars nécessaires à la survie de l'orphelinat de leur enfance, menacé de fermeture par le fisc.
Un mélange explosif de chant, de danse, d’action et de course-poursuite pour une bonne cause. Pécouvrir les stars de la soul et du R & B : Aretha Franklin, James Brown, Cab Calloway, Ray Charles, John Lee Hooker.
La Couleur pourpre - De Steven Spielberg. Drame. 1986, 2 h 34.
Avec Danny Glover, Whoopi Goldberg et Oprah Winfrey.
L'histoire dure et tumultueuse de deux sœurs, nées noires dans le sud de l'Amérique des années 1900. Celie, l'aînée, a deux enfants de son père, qu'il lui prend dès la naissance, avant de la donner pour femme à « Monsieur », un veuf brutal et tyrannique qui la rabaisse et la violente, allant jusqu'à la séparer de sa jeune sœur Nettie, qu'il l'empêche de revoir. Les années passent. Celie abdique face aux abus répétés de son mari, quand d'autres femmes autour d'elle résistent, sont brisées, s'affirment… Des années plus tard, Celie trouve la force de s'émanciper au contact d'une chanteuse de cabaret devenue la maîtresse de son mari, Shug Avery.
La Couleur pourpre peint un tableau bouleversant de la condition des femmes noires dans l'Amérique du début du siècle, victimes à la fois de la ségrégation, du racisme, mais aussi de la violence sexiste de leur propre communauté.
La Boum - De Claude Pinoteau. Comédie. 1980, 1 h 54.
Avec Sophie Marceau, Claude Brasseur et Brigitte Fossey.
Ce film retrace l'histoire de Vic, Parisienne de 13 ans, qui vit ses premières expériences amoureuses.
Une plongée dans les années 1980, un monde étrange peuplé de cabines téléphoniques et de cassettes audio, et puis aussi parce que les adolescents ont les mêmes problèmes que ceux du siècle dernier. C'est un bon mode d'emploi pour apprendre à draguer en soirée. Petite anecdote : Il aura fallu tourner 17 prises pour la scène des appareils dentaires.
Au revoir les enfants - De Louis Malle. Drame. 1987, 1 h 43.
Avec Gaspard Manesse et Raphaël Fejtö.
Durant l'hiver 1943-1944, dans la France occupée, Julien, 12 ans, est pensionnaire d'un internat tenu par les pères carmes. Après les vacances de Noël, trois nouveaux élèves
Ce film fait voir les horreurs de la Shoah à travers le regard d'un enfant. « Faites-moi confiance, Vous n'oublierez pas ce film. »
La petite anecdote : Jean Bonnet s'appelait en réalité Hans Helmut Michel. Il a fréquenté le même collège que le réalisateur Louis Malle. Il a été emmené par la Gestapo alors qu'il n'avait que 14 ans.
August Rush - De Kirsten Sheridan. Drame musical. 2007, 1 h 53.
Avec Freddie Highmore et Robin Williams.
August a grandi dans un orphelinat, mais il est convaincu que ses parents viendront le retrouver s'il leur fait entendre la symphonie qu'il compose avec tout ce qui lui passe par la main.
Ce film montre la magie de la musique. Le morceau final est d'une beauté à vous tirer les larmes !
Douze hommes en colère - De Sidney Lumet. Drame judiciaire. 1957, 1 h 35.
Avec Henry Fonda, Lee J. Cobb et Ed Begley.
À New York, douze hommes forment le jury d'un procès criminel. Ils s'enferment, dans une salle plombée par la chaleur, pour statuer à l'unanimité sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide.
Ce film prouve qu'il n'y a pas que les films d'action dans la vie et qu'un huis clos peut vous tenir en haleine pendant une heure et demie. Le film a été tourné en un temps record et pour un minimum d'argent, c'est-à-dire en vingt et un jours pour la modique somme de 340 000 dollars.
Demain tout commence - D'Hugo Gélin. Comédie dramatique. 2016, 1 h 59.
Avec Omar Sy, Gloria Colston et Clémence Poésy.
Un père élève seul sa petite fille, abandonnée à la naissance par sa mère. Huit ans plus tard, la maman refait surface. Ce film est excellent pour les glandes lacrymales, car on pleure (autant de joie que de tristesse) durant deux heures.
Forrest Gump - De Robert Zemeckis Comédie dramatique. 1994, 2 h 22.
Avec Tom Hanks, Robin Wright, Gary Sinise et Sally Field.
L'histoire de Forrest Gump, garçon handicapé, faussement naïf, et pour qui courir est une raison de vivre. Sans trop comprendre, il va traverser tous les grands événements de l'histoire des États-Unis. Les émotions sont souvent plus belles que l'intelligence pure. En outre, Forrest Gump a eu l'oscar du meilleur film, et Tom Hanks, celui du meilleur acteur. La phrase culte du film :“La vie, c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.” »
Rain Man - De Barry Levinson. Comédie dramatique. 1989, 2 h 13.
Avec Dustin Hoffman et Tom Cruise.
À la mort de son père, dont il s'était éloigné, Charlie Babbitt, un concessionnaire de voitures de luxe pressé et égocentrique, découvre que la quasi-totalité de la fortune paternelle est léguée à son frère aîné, dont il ignorait l'existence : Raymond, atteint d'autisme, avait été placé dans une institution. Charlie l'enlève, avec le plan de récupérer l'héritage. Sur la route qui les conduit en Californie, les souvenirs refont surface, et les deux frères apprennent à se connaître. Un film à la fois sérieux, tendre, drôle et touchant.
Servi par deux grands acteurs, le film permet d'aborder les questions de l'inégalité des êtres, de la tolérance, des déceptions du paraître, du handicap…
Peur sur la ville - D'Henri Verneuil. Film policier. 1975, 2 heures.
Avec Jean-Paul Belmondo, Charles Denner et Adalberto Maria Merli.
Le commissaire Letellier doit neutraliser un psychopathe, tueur en série, dans le Paris modernisé et anxiogène des années 1970. Un policier français peut être aussi efficace qu'un flic américain. « Tu y trouveras un méchant qui fait vraiment peur, des dialogues de Michel Audiard truculents, des scènes de poursuite et la décontraction de notre “Bébel” national. »
La Grande Évasion - De John Sturges. Film d'action. 1963, 2 h 45.
Avec Steve McQueen et Richard Attenborough.
En 1943, en pleine Seconde Guerre mondiale, des soldats américains, britanniques, canadiens, australiens et polonais se retrouvent prisonniers dans un camp de la Luftwaffe. Ils décident d'organiser une spectaculaire évasion de centaines de prisonniers par trois tunnels.
« Tu vas te découvrir un ami pour la vie en la personne de Steve McQueen. Après le visionnage, tu n'auras qu'une envie : creuser un tunnel sous le jardin de tes grands-parents. »
Princesse Mononoké - D'Hayao Miyazaki (studio Ghibli). Film d'animation fantastique japonais. 1997, 2 h 13.
Le combat éternel entre l'homme et la nature se résout dans l'harmonie, grâce à l'union du jeune archer Ashitaka et de la sauvage San, princesse Mononoké. La princesse est élevée par des loups.
Une fable écolo intemporelle aux accents animistes dans laquelle il n'y a pas de polarisation bons versus méchants.
La Gloire de mon père - D'Yves Robert. Drame, aventure. 1990, 1 h 45.
Avec Philippe Caubère et Nathalie Roussel.
Le petit Marcel, dont le papa est instituteur à Marseille, découvre, lors de vacances d'été, la beauté de la garrigue provençale et tombe amoureux de ses collines.
Parce que Pagnol au cinéma, mis en scène par le génial Yves Robert, c'est aussi savoureux qu'un sirop d'orgeat à l'ombre des oliviers. C'est l'enfance rêvée, la chasse à la bartavelle, le chant des cigales, le doux accent du Sud et l'incontournable BO de Vladimir Cosma.
La suite s’appelle Le Château de ma mère, du même réalisateur (1990).
La vie est belle - De Frank Capra. Conte dramatique. 1946, 2 h 10.
Avec James Stewart, Donna Reed et Lionel Barrymore.
À la veille de Noël, George Bailey va se suicider. Mais, là-haut, au paradis, l'apprenti ange Clarence est chargé de lui venir en aide. En avant pour le flash-back d'une vie ! C'est LE film de Noël par excellence à regarder en famille.
Little Miss Sunshine - De Jonathan Dayton et Valerie Faris. Comédie dramatique. 2006, 1 h 40.
Avec Abigail Breslin, Greg Kinnear et Toni Collette.
La jeune Olive a 7 ans et un grand rêve en tête : devenir la prochaine reine de beauté. Lorsqu'elle apprend qu'elle s'est qualifiée au concours de Little Miss Sunshine en Californie, elle persuade son étrange famille de l'y accompagner. Une galerie de personnages loufoques (le père « coach de motivation » caricatural, l'oncle dépressif, le frère adolescent rebelle, le grand-père grossier, etc.) se lance dans un road trip farfelu sur les routes des États-Unis, mettant le cap à l'ouest dans leur break Volkswagen jaune rouillé…
Persepolis - De Vincent Paronnaud et de Marjane Satrapi. Film d'animation. 2007, 1 h 37.
Le film raconte le quotidien, les rêves, les espoirs et les désillusions d'une petite Iranienne, de Téhéran à l'Autriche, de la révolution de 1979 à l'exil et la liberté.
Marjane Satrapi nous raconte son histoire, mais aussi celle de son pays, l'Iran, à travers ses yeux d'enfant. « Si tu aimes l'humour et le graphisme de Marjane Satrapi, il y a quatre albums de bande dessinée, dont est adapté le film, qui t'attendent. »
Bons baisers de Russie - De Terence Young. Film d'espionnage. 1963, 1 h 55.
Avec Sean Connery, Daniela Bianchi, Lotte Lenya et Robert Shaw.
L'agent 007 doit lutter contre une organisation criminelle secrète connue sous le nom de Spectre et faire passer à l'Ouest une jeune Russe nommée Tatiana et un lecteur de déchiffrement conçu par les Soviétiques. C'est une excellente initiation à l'univers de l'espionnage au temps de la guerre froide.
Il y a beaucoup d'action (un voyage en train agité et une course-poursuite en bateau spectaculaire) et d'humour britannique. La petite anecdote : pour la séquence des égouts, Terence Young s'est rendu à Madrid pour tourner avec 200 rats réunis par un chasseur local.
Certains l'aiment chaud - De Billy Wilder. Comédie romantique. 1959, 2 heures.
Avec Tony Curtis, Jack Lemmon, Marilyn Monroe et Joe E. Brown.
Chicago 1929. Joe et Jerry, deux musiciens au chômage, obtiennent un contrat pour le bal de la Saint-Valentin, qui tourne au massacre. Poursuivis par la Mafia, ils se déguisent en femmes et se font engager dans un orchestre entièrement féminin.
Cette comédie multigénérationnelle est sans vulgarité. Selon la liste établie en 2005 par le British Film Institute, cette comédie fait partie des 50 films à voir avant ses 14 ans.
Billy Elliot - De Stephen Daldry. Comédie dramatique. 2000, 1 h 50.
Avec Jamie Bell.
Dans une ville minière du nord-est de l'Angleterre, un garçon de 11 ans, contraint par son père à faire de la boxe, se passionne pour les cours de danse qui se déroulent dans le même gymnase…
Un film à voir parce qu'il donne de l'espoir et brise les stéréotypes genrés. Avec ses références à Fred Astaire et Gene Kelly, c'est aussi un bel hommage aux grandes comédies musicales américaines. Cela donne une furieuse envie de danser !
West Side Story - De Jerome Robbins et de Robert Wise. Comédie musicale. 1961, 2 h 32.
Avec Natalie Wood et Richard Beymer.
Deux gangs de jeunes se disputent le contrôle de leur quartier, le West Side de Manhattan, à New York : les Jets, issus de familles européennes, affrontent les Sharks, des Portoricains. Rien ne va plus lorsque Tony, un Jet, tombe amoureux de Maria, la sœur de Bernardo, le caïd des Sharks… Dans cette adaptation de la comédie musicale éponyme, la guerre des gangs se vit au rythme de la musique d'anthologie de Leonard Bernstein. Le film a remporté dix oscars. Dix !
Ce Roméo et Juliette moderne fonctionne à merveille dans le New York des années 1950-1960. Et plus de soixante ans après, il reste étonnamment moderne. « Maria, Maria, Mariiiiiiiia… » ! Avec de telles chorégraphies endiablées, impossible de s'ennuyer !
Remake du film de 1961
Citizen Kane - D'Orson Welles. Drame. 1941, 1 h 59.
Avec Orson Welles, Joseph Cotten et Dorothy Comingore.
Ce film raconte l'ascension et la chute du magnat de la presse Charles Foster Kane. Le spectateur le suit de l'enfance à ses derniers instants.
Ce film prouve que, non, l'argent ne fait pas toujours le bonheur.
En s'inspirant de la vie du patron de presse William Randolph Hearst, le réalisateur s'est exposé au courroux de celui-ci. Hearst a tenté de faire interdire le film et organisé une campagne de presse pour le faire boycotter.
La vie est belle - De et avec Roberto Benigni. Comédie dramatique, fable, conte philosophique. 1998, 1 h 56.
En 1943, Guido, Dora et leur fils Giosuè vivent heureux malgré les lois raciales imposées par le fascisme. Mais Guido est juif et finit par se faire déporter dans un camp avec son petit garçon. Voulant coûte que coûte lui épargner l'horreur, il fait croire à son fils que le camp est le théâtre d'un jeu grandeur nature, dont l'objectif est de remporter un char d'assaut.
C'est l'un des rares films qui racontent les camps de concentration à travers des yeux d'enfant. Le rire et l'humour sont des armes redoutables. La petite anecdote : le numéro de prisonnier de Guido est le même que celui qui figure sur l'uniforme de Charlie Chaplin dans Le Dictateur (1940). Un clin d'œil à cette autre satire du fascisme.
L'Ours - De Jean-Jacques Annaud. Film d'aventures. 1988, 1 h 36.
Avec Bart l'ours, Tchéky Karyo et Jack Wallace.
C'est l'histoire d'un ourson orphelin adopté par un ours solitaire, tous deux pourchassés par des chasseurs. C'est un beau film d'apprentissage sur le bien et le mal dans une nature majestueuse. « Apprends à respecter la nature et les animaux qui la peuplent. »
Les ours ont été dressés pendant quatre ans avant le tournage.
Cyrano de Bergerac - De Jean-Paul Rappeneau. Drame, cape et épée. 1990, 2 h 15.
Avec Gérard Depardieu, Anne Brochet, Vincent Perez, Roland Bertin et Jacques Weber.
Cyrano de Bergerac, redoutable escrimeur et poète aguerri, est amoureux de sa cousine Roxane. Mais celle-ci lui avoue qu'elle aime Christian de Neuvillette, un nouveau cadet qui se signale par son manque d'esprit. Christian demande à Cyrano de l'aider à entretenir pour lui une correspondance amoureuse avec la belle Roxane…
Cette remarquable adaptation de la pièce d'Edmond Rostand brille par sa justesse et l'interprétation étourdissante de Gérard Depardieu. Les alexandrins passent comme une lettre à la poste et, mieux, donnent envie de ne plus s'exprimer que de la sorte.
La mythique scène du nez, c'est l'art du « clash » avant l'heure. Si ça, ce n'est pas bien envoyé !
La Tour infernale - De John Guillermin et d'Irwin Allen. Film catastrophe. 1974, 2 h 45.
Avec Paul Newman, Steve McQueen, Faye Dunaway, Fred Astaire et William Holden.
L'inauguration du plus haut gratte-ciel du monde ne se déroule pas tout à fait comme prévu.
Il n'y a pas plus distrayant qu'un film catastrophe. Parce que le réalisme du film, avant l'ère des effets spéciaux généralisés, est saisissant.
Paul Newman et Steve McQueen réalisent eux-mêmes la plupart de leurs cascades.
4 jeunes, 1 cadavre, l'aventure d'une vie. Cette adaptation d'une nouvelle de Stephen King est un film culte dont la musique est connue de tous. Dans les années 1950, le temps d’un week-end, quatre jeunes garçons s’enfoncent dans la forêt à la recherche d’un macchabée. Ce qu'ils découvrent, c’est l’angoisse et la mort, le courage de les surmonter aussi, la solidarité et la loyauté.
Le Discours d'un roi - De Tom Hooper. Drame historique. 2010, 1 h 58.
Avec Geoffrey Rush, Colin Firth et Helena Bonham Carter.
À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, l'histoire vraie du père d'Elizabeth II – la reine d’Angleterre–, qui va devenir le roi George VI (Colin Firth), à la suite de l'abdication de son frère Édouard VIII (Guy Pearce). Un roi qui devra lutter contre son bégaiement.
Pour mieux comprendre les liens de la petite et de la grande histoire à travers l'exemple d'un homme ordinaire propulsé roi et qui prononcera le discours historique sur la déclaration de guerre du Royaume-Uni à l'Allemagne nazie en septembre 1939.
Ce film explique comment surmonter un handicap par la force de sa volonté et la méthode d'un génial orthophoniste joué par Geoffrey Rush. De plus, Le Discours d'un roi totalise près de 100 prix internationaux, dont quatre oscars.
Avec Sigourney Weaver
Durant le voyage de retour d'un immense cargo spatial en mission commerciale de routine, ses passagers, cinq hommes et deux femmes plongés en hibernation, sont tirés de leur léthargie dix mois plus tôt que prévu par Mother, l'ordinateur de bord. Ce dernier a en effet capté dans le silence interplanétaire des signaux sonores, et suivant une certaine clause du contrat de navigation, les astronautes sont chargés de prospecter tout indice de vie dans l'espace.
Comme vous vous en doutez, cela ne va pas bien se passer... Le sous-titre de ce film en dit lon : "Dans l'espace, personne ne vous entend crier..."
N'hésitez pas à me suggérer vos films cultes!!!